Richard Mille

Alain Borer

Photographe(s)

EAN: 9782702207628 2006 192 pages relié pleine toile jaquette

Résumé

Richard Mille a réalisé toute sa carrière dans la haute horlogerie. Son amour de la mécanique de très haute précision, sa passion pour la perfection technologique ont inspiré ses créations. Des milliers d’heures de recherche en ingénierie dans un atelier ultramoderne du Jura suisse ont abouti en 2001 à la réalisation et à la commercialisation de la montre de poignet à la fois la plus ergonomique et la plus sophistiquée du point de vue technique. Depuis, quantité de nouveaux modèles ont été créés et lancés avec succès.

Dans une montre RICHARD MILLE, c’est le concept qui impose les composants, et non pas l’inverse, elle ne contient donc aucune pièce «standard». La fibre de carbone, le silicium, les alliages métalliques et non métalliques, les céramiques ne sont désormais plus l’apanage des seule industries automobiles aéronautiques ou aérospatiales. Ces matériaux offrent à la haute horlogerie des possibilités fabuleuses et des solutions techniques inédites, à condition d’accepter les défis que représente leur adaptation à la montre. D'un prix élevé, ils demandent à être testés à de nombreuses reprises pour livrer leurs secrets aux outilleurs et mécaniciens hauts horlogers. On peut donc qualifier les montres RICHARD MILLE d’œuvres d’art futuristes de très haute technologie.

Un livre sur le temps donc ! « On ne s’entend plus dans cette époque ! le théâtre est le dernier lieu où s’entendre », déclare Alain Borer qui met en scène un Quadrige invectif où Richard Mille s’engage avec Fausto Copi, Pégase et Let’s go Darling dans une course effreinée ou freinée, contre ou avec le temps, c’est selon… « Quiconque lit le Quadrige invectif reçoit un chapeau claque et un porte-voix, prend parti en brandissant des pancartes aux noms de ses canassons favoris, Let’s go Darling, Fausto Coppi, Richard Mille ou Pégase, dans la course effrénée qui a lieu à cet instant même au-dessus de toi, lecteur, la course du soleil dans le ciel : le quadrige des chevaux étincelants, à laquelle chacun prend part, rieur ou pas, parieur ou non, nous est enfin montré de près, dans cette fantaisie profonde et pataphysique, magnifique, drolatique, et décoiffante; surtout s’il faut lever les yeux pour voir passer la course, car l’heure passe au ciel. » A. B.

http://richardmille.com/